Les raids aériens qui ont frappé des zones résidentielles dans le département du Pool (sud-est du Congo), faisant des morts et des blessés et détruisant des bâtiments, y compris des églises, des écoles et des établissements médicaux, constituent un recours excessif à des armes meurtrières de lapart des forces de sécurité, a déclaré Amnesty International lundi 18 avril.